HISTOIRE : Indices de l'incendie de 1887 |












HISTOIRE : enquête sur la datation de l'incendie de la Chapelle en 1887. |
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Vue latérale gauche de la chapelle - 2001
84,47 Ko,
06/04/2009
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- Image de zoom à forte résolution pour permettre un rapprochement plus fin - |
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4 corbeaux visibles en 1885
57,72 Ko,
06/04/2009
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1885 : Une seconde observation fait ressortir un alignement de 4 corbeaux en haut du mur gauche de la Chapelle. |
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2 corbeaux manquants par rapport au relevé de 1885.jpg
85,49 Ko,
06/04/2009
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2001 : seuls 2 corbeaux restent dans l'alignement.
1) : ils sont d'origine, ce n'est pas du réemploi.
2) : il manque corbeaux par rapport à 1885. |
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Analyse texturale du mur gauche de la chapelle
88,17 Ko,
06/04/2009
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Une étude attentive du mur fait ressortir 4 textures différentes.
1) la texture type 1 présente des pierres de maçonnerie assez grossières (limousinage) destinées à être enduite, avec des joints fortement marqués.
2) la texture type 2 présente des pierres de maçonneries avec un jointoyage régulier, lisse, assez récent,
3) la texture type 3 est semblable à la texture type 1, mais avec des pierres rougies.
4) R correspond à une reprise du mur en 2001.
Les textures 1 et 3 correspondent à une même période de construction. La différence de couleur est superficielle.
Les textures de type 1//3 et 2 correspondent à 2 périodes de construction différentes. Il y a donc eu effondrement de la partie haute du mur, ce qui explique la disparition de 2 des 4 corbeaux visibles en 1885. |
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Détail 1 de la texture type 3
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06/04/2009
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Le détail fait apparaître des pierres rougies et éclatées.
L'éclatement est dû à la chaleur des flammes.
Le rougissement est dû à une réaction chimique de la pierre (oxydation ?) sous l'effet catalytique de la chaleur d'un feu. (Regardez vos pierres blanches après un feu de camp).
La texture type 3 correspond à une portion de mur ayant subit un grand feu. |
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Détail 2 de la texture type 3
684,36 Ko,
06/04/2009
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On observe ici une démarcation nette de la coloration de la pierre dans la continuité du toît. Au dessus, la pierre est plus rouge qu'en dessous. La partie inférieure a donc été mieux protégée des flammes. |
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